★★★★☆
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2005-11-09
Scum Manifesto - de Valerie Solanas (Author)
Caractéristiques Scum Manifesto
Le paragraphe suivant répertorie les points communes sur Scum Manifesto
| Le Titre Du Fichier | Scum Manifesto |
| Sortié Le | 2005-11-09 |
| Traducteur | Aanaya Lorella |
| Numéro de Pages | 523 Pages |
| La taille du fichier | 33.23 MB |
| Langage | Français & Anglais |
| Éditeur | Reed Elsevier |
| ISBN-10 | 0484166487-IES |
| Format de Livre | PDF ePub AMZ MCW Mobi |
| Créateur | Valerie Solanas |
| Digital ISBN | 125-9692104451-KBM |
| Nom de Fichier | Scum-Manifesto.pdf |
Télécharger Scum Manifesto Livre PDF Gratuit
SCUM Manifesto est un manifeste féministe radical écrit autoédité et diffusé par colportage à partir doctobre 1967 par la newyorkaise Valerie Solanas 1
SCUM Manifesto Association pour couper les couilles des hommes ou Association pour castrer les Messieurs ou Association pour tailler les hommes en pièces
Plus quune pensée féministe rebelle anarchiste ou que saisje encore Scum Manifesto est avant tout un pamphlet Afin de bien éclairer le futur lecteur il est bon de définir le concept du pamphlet soit un écrit fait pour tuer
SCUM Manifesto est un livre numérique rassemblant textes inédits et documents d’archives autour de la bande vidéo de Carole Roussopoulos et Delphine Seyrig restaurée et disponible en intégralité dans l’ouvrage
Le scum manifesto est essentiel dans la littérature féministe dans lexplication des rapports hommes femmes Contrairement à Simone de Beauvoir Valerie Solanas est violente virulente et du coup légèrement grotesque nuisant à son propos
Publié pour la première fois en 1967 ce texte culte maintes fois réédité sinscrit demblée dans la lignée des grands pamphlets qui ont marqué la pensée révolutionnaire de lépoque
SCUM cest lénorme crachat que Valerie Solanas renvoie aux hommes Sa violence est une réponse à la violence Avant que Kate Millett ne théorise la politique sexuelle du mâle Valerie Solanas la dénoncée au niveau viscéral et à la différence de Betty Friedman elle ne sen prend pas aux institutions mais aux hommes qui les